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Le tifaifai c’est tout un art, il faut parfois des mois pour en terminer un. Le tifaifai véhicule toujours un message. Certains tifaifai retracent des histoires généalogiques. Ce premier festival international, aura lieu du 12 au 14 octobre 2018 à la mairie de Punaauia-Tahiti.
« Les objectifs de ce festival sont de mettre en avant les savoir-faire qui se perdent et de donner de l’importance au tifaifai, qu’il soit considéré comme un produit international » Jerry Biret.
Le Canada, la ville de London, la Russie ou l’Afrique utilisent déjà le tifaifai avec leurs propres motifs & coloris de tissu. Le tifaifai est traditionnellement offert au moment de la naissance ou du mariage. L’objectif est de transmettre l’amour d’un foyer aux nouveaux nés et aux mariés. Cet héritage se transmet de génération en génération.
MERCI ET BONNE COUTURE.
@photo : Matareva
Le ukulélé tahitien a une place importante dans la culture polynésienne. Le ukulélé accompagne les danses du Heiva, chants et bringues entre ami(e)s.
Le son est plus prononcé sur le ukulélé local que celui de nos cousins hawaïen.
Fabriqué sur plusieurs essences de bois telles que : bois de rose, manguier, le ukulélé dispose de 4 à 8 fils.
Vous avez la possibilité de commander votre ukulélé hawaïen réalisé par un luthier 100% local. Cliquez ici
Voici l’artiste Te Ava Piti et son morceau « E He’e Te Va’a » enregistré par Studio Alphonse
Envoyez par mail à contact@itiart.com une vidéo de vous entrain de jouer votre morceau de ukulélé.
Attention sur l’enregistrement, vérifiez que le son soit correct.
Pendant le mois de juillet-août, la chaleur diminue sur le Fenua, il y a donc beaucoup de personnes qui se baladent dans la ville de Papeete. Pour la tortue polynésienne, c’est une autre histoire, accompagnée de son maître elle profite du beau temps pour parler aux touristes et aux guides sur les sites de Papeete.
La matière préférée des sculpteurs polynésiens est le bois, disponible sous différentes couleurs et différents types. Les objets de décoration, qu’ils fabriquent sont réalisés avec du bois de cocotier, bois de rose et bien plus encore.
A savoir : « Dans l’ancienne société tahitienne les arbres étaient considérés comme des êtres vivants d’essence divine » Catherine ORLIAC.
Les motifs les plus utilisés sont la tortue, la pirogue de pêche du polynésien, le tiki et le umete.
Iaorana, voici un cliché pris sur les quais de Papeete à l’arrivée d’un paquebot. Une nouvelle manière de voir nos produits locaux en version noir & blanc, pour ainsi les mettre en valeur.